Chaque année, la conférence Google IO est attendue par de nombreux fans et acteurs du secteur tech. Cette année, le sujet principal de l’entreprise de la Silicon Valley portait sur la réalité augmentée et le lancement de plusieurs applications concrètes. L'objectif est de pouvoir allier la technologie de réalité augmentée aux applications existantes de la firme afin de répondre aux besoins des utilisateurs. Les applications “Scene Exploration” ou encore “Live View” permettraient d'accéder à plus d’informations lorsque nécessaire : recherche de produits, d'itinéraire ou encore exploration des environs.
Google préfère s’éloigner du concept de métavers, dont le terme a un sens très large, et parle au contraire de “cas d’usage dans le monde réel” de la réalité augmentée. Une approche similaire à celle de Snapchat qui utilise également la réalité augmentée pour proposer de nouveaux services à ses utilisateurs.
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Application désormais aussi connue que les premiers réseaux sociaux phares, TikTok continue de séduire bien nombre d'utilisateurs mais également de créateurs de contenus. Pourtant, face à la difficulté du ciblage publicitaire, le seul moyen de revenu actuel de l’application chinoise, la plateforme compte rebondir en explorant de nouvelles pistes. Semblable à ce que peux proposer Twitch, TikTok compte avancer sur une proposition d’abonnement permettant d’avoir accès à du contenu spécifique, notamment dans les chats. Un premier début en bêta devrait arriver sous peu, permettant ainsi à la plateforme, tout comme aux différents créateurs de contenus de s’affranchir petit à petit de la publicité. En savoir plus sur Les Echos
Bien que Netflix ait levé des inquiétudes en avril dernier en annonçant une baisse de ses abonnements, le secteur du streaming se porte bien. Si son acteur principal semble commencer pour la première fois depuis sa création, à avoir des difficultés à trouver des nouveaux abonnés, ce n’est pas une tendance qui compte s’installer. D’après une étude du cabinet irlandais Digital TV Research, le secteur du streaming devrait connaître une augmentation de plus de 1.7 milliard d’abonnés d’ici 2027. Une annonce dont la répartition de croissance se porte plus favorablement pour Disney+ qui devrait prendre la tête du secteur.
Par ailleurs, pour diversifier les méthodes d’acquisition d’abonnés, Disney+ se penche sur une proposition alliant publicité et abonnement moins cher. Un moyen de toucher des consommateurs dont le budget est moindre, tout en leur proposant le même contenu contre de la publicité. Netflix explore également cette possibilité.
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Qu’il s’agisse de la France ou du reste du monde, le secteur tech est connu pour être un secteur avec moins de profils féminins. Et bien que les entreprises fassent des efforts de recrutement et de formation interne pour garder ces profils féminins, le problème de la déféminisation des métiers du numérique reste un frein.
Début 2022, le “Pacte Parité” a été initié par la French Tech avec une adhésion de 69 start-up, majoritaire du Next 40 et y compris quelques licornes. L’objectif ? S’engager à atteindre un minimum de 20 % de femmes en conseil d’administration sur les 3 prochaines années, puis 40 % d’ici à 2028. Un engagement qui allie également la formation des managers sur les enjeux de diversité mais aussi de lutte contre toutes formes de discriminations et d’harcèlement.
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Depuis la décision de la CNIL sur la non-conformité de Google Analytics vis-à-vis du RGPD , les inquiétudes des entreprises européennes furent nombreuses. Depuis, Google assure que sa nouvelle version GA4 est dorénavant conforme car les analyses des données des européens restent en Europe. Mais ce sujet pose quelques questions sur les autres services cloud tels que Microsoft, AWS, ou encore Salesforce ?
Les deux premiers proposent des services pour contrôler la localisation de l’hébergement des données et ont émis une volonté de travailler avec les acteurs européens pour bien respecter les normes et réglementations. Salesforce, de son côté, possède un hébergement local et veut aller plus loin en se détachant de la gestion des infrastructures IT pour se reposer sur les acteurs du marché, et ainsi répondre aux demandes des clients sur la localisation de leurs applications. On assiste donc à un mouvement global où Salesforce semble être le seul à avancer réellement sur la garantie à ses utilisateurs de la localisation des services en UE.
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